Bonjour Maîtresse,
C’est infernal, toutes mes pensée libres s’envolent vers vous.
Si mon corps avait les mêmes ailes je serais déjà nu à quatre pattes devant votre porte en collier et laisse comme une de vos chiennes de plus.
Mes seins, mes bourses et mon sexe se tendent en vain vers vos ongles et vos pinces absentes.
Vous avez dépucelé mon urètre et maintenant son petit bec s’ouvre par saccades pour recevoir sa becquée.
Mon anus vous appartient et attend que la dilatation que vous lui assurerez vous permette de fouiller son intimité selon votre plaisir.
Ma bouche se languit de vos crachats, mon dos et le reste pensent à vos martinets, à votre cravache et à vos mains.
Quant à vos pieds j’ai eu à peine le temps d’un baiser d’adieu pour les effleurer…tout de vous me manque.
En savez-vous plus de votre début septembre ? Je peux être entièrement libre du 4 au 7… une heure semble bien court pour des retrouvailles, peut-être pourrait-on envisager une rencontre plus longue…
Toutes ces questions, pardonnez-moi, je sais que ce n’est pas le rôle d’un soumis…
Quelques mots de vous même cinglants….
À vos pieds déjà,
Michel